I Ô jeune Thyoné, vierge au regard vainqueur, Aphrodite jamais n’a fait battre ton coeur, Et des flèches d’Éros l’atteinte toujours sûre N’a point rougi ton sein d’une douce blessure. Ah ! si les Dieux jaloux, vierge, n’ont pas formé La neige de ton corps d’un marbre inanimé, Viens au…