Les insectes d’été Font grève à minuit Tête des étudiants.
Les insectes d’été Font grève à minuit Tête des étudiants.
Dans la rivière en hiver, Mis au rebut, La carcasse d’un vieux chien.
A l’octroi du pont On a fait les comptes Soir de printemps.
La pleine lune entourée Par ces innombrables étoiles, Et le ciel d’un vert profond.
L’orage se brise, Un arbre éclairé par le coucher du soleil, Le cri des cigales.
Juste au moment où le sermon A finalement sali mes oreilles – Le coucou.
O vents d’automne, Pour moi il n’y a pas d’anciens dieux, Aucuns Buddhas pour moi.
Un bébé moineau… Saute avec curiosité Pour regarder mon coup de pinceau.