Mon cour qui t’attend Toujours le silence, Et l’immense effeuillement
Mon cour qui t’attend Toujours le silence, Et l’immense effeuillement
Violon lointain Meubles bas, jour au déclin, Notre cher silence
Pavés désertés, Chaude, étrange avalanche: Juillet, un dimanche
Élégantes verreries Parfums exhalés: Bonheurs en allés