J’éternue Et perds de vue L’alouette.
J’éternue Et perds de vue L’alouette.
Rompre le parfum Des ténèbres, elle est blanche – La fleur du prunier.
Pris dans une douche soudaine Moineaux de se blottir Et lutter pour atteindre les feuilles.
À ses pieds On vole les haricots Ah ! l’épouvantail.
En montagne, averses hivernales En plaine, on arrache les radis énormes C’est la vie.
La vie est-elle courte ? Il m’a semblé bien long, Le rêve que j’ai fait.
Première neige de la saison – Jusqu’à ce qu’il se familiarise avec elle Le bambou n’est pas couché.
Occupé à transplanter les pousses Il va pisser dans la rizière Du voisin.