Quand en songeant ma folâtre j’acolle, Laissant mes flancs sur les siens s’allonger, Et que, d’un branle habilement léger, En sa moitié ma moitié je recolle ! Amour, adonc si follement m’affole, Qu’un tel abus je ne voudroi changer, Non au butin d’un rivage étranger, Non au sablon qui jaunoie…