À David Sauvageot. I. Les cygnes migrateurs qui passent dans les airs, Pèlerins de haut vol, fiers de leurs ailes grandes, Sont tout surpris de voir tant d’espaces déserts : Des steppes, des marais, des grèves et des landes. » C’est triste, pensent-ils… Ne croit-on pas rêver Quand, à perte…