En quelle nuit, de ma lance d’ivoire, Au mousse bout d’un corail rougissant, Pourrai-je ouvrir ce boutin languissant, En la saison de sa plus grande gloire ? Quand verserai-je, au bout de ma victoire, Dedans sa fleur le cristal blanchissant, Donnant couleur à son teint pâlissant, Sous le plaisir d’une…